À l’origine de ce surnom, le nouveau métier créé par Slim Riahi en Tunisie, propriétaire de fréquences. Un métier qui défraie la chronique puisque l’homme d’affaires a acquis les fréquences sur lesquelles est transmise Ettounsiya. Il croit pouvoir, à ce titre, se prononcer au nom de la chaine télévisée, publier des communiqués en son nom, intervenir dans les programmes politiques ou carrément couper l’antenne.
Mieux que ça, et c’est ce que relève subtilement Sofiène Ben Farhat dans sa chronique, le monsieur croit pouvoir, par son argent et par l’achat de fréquences, devenir président en se disant « pourquoi pas moi ? ».