S’en vont de leurs pas tanguant indécis
Retrouver la fille publique poupée aux savantes caresses
Qui au male vendra l’ivresse
Et là jusqu’aux petits matins
Amour accordéons et vin donneront le profond oubli
Ils se résignent aux lendemains
A l’inéluctable destin, à leur misère
Ils ont la mer pour cimetière