FARCE DES VANITÉS ET SATYRE DES ERREURS, CETTE OEUVRE JOYEUSE, ENLEVÉE ET FAUSSEMENT LÉGÈRE NOUS FAIT DÉCOUVRIR UN ROUSSEAU INATTENDU.
Par un piège tendu par sa soeur Lucinde, Valère/Narcisse, beau jeune homme vaniteux, tombe fou amoureux de son propre portrait. Jeux de cachecache amoureux habilement construits, quiproquos et personnages déchaînés se succèdent sur un rythme effréné. Jean-Luc Revol s’empare avec délectation de la courte pièce Narcisse ou l’amant de lui-même, une comédie de jeunesse joyeuse et enlevée à la façon d’un Marivaux. Cette pièce déjoue les codes dutravestissement avec jubilation. Rousseau y traite avec subtilité de la question de l’identité, de la méconnaissance de soi et des autres, de l’imposture et de la mascarade sociale et morale !
« Tout est ici frais, léger et follement amusant… On sent le plaisir gourmand des sept comédiens sur scène, tous sont très bons… On adore ça… » Paris Première