Que toutes les personnes, réceptives de notre message, puissent trouver nos remerciements les plus sincères, notamment, Karim et Khabil qui ont été de la partie et nous ont permis d'utiliser leur espace, sans réticence aucune. Des parents, tous âges confondus, ont accompagné leurs enfants et ont participé, avec grâce et volupté, à la liesse de ceux qui ont voulu remédier au spleen et au stress. C'est la race des bâtisseurs optimistes, à encourager. Ceux qui ont voulu insuffler un esprit dynamique à une ville touristique, devenue citée dortoir.
Et en dépit des caprices du temps et du ciel maussade, la musique était au rendez-vous à la petite plage dont les vagues douces et successives procuraient, le temps d'un après-midi, fugace et animé, un brin de fraîcheur et de nostalgie. Quelle splendeur et quel bonheur! Lorsque la bonne volonté assure les résultats escomptés.
Bien entendu, ce Festival des Couleurs, n'est pas du goût de tout le monde. Il y a toujours des personnes allergiques à la bonne humeur qui se livrent à des critiques, pour la critique. Rien ne leur convient. Ces détracteurs aux sombres desseins, ne font qu'augmenter notre détermination d'un cran. Cette engeance qui fût constipée, des lustres durant, se laisse inspirer par la diarrhée qui ne cesse d'inonder la scène depuis un moment et dont on subodore les relents nauséabonds d'une pensée binaire et négationniste.
Zouaoui Ali ben Amor.