L’autorité de régulation a dit avoir convoqué le directeur de la chaîne, suite à « la diffusion de séquences contraires à la sacralité du mois de Ramadan, et attentant aux valeurs morales et religieuses de la société algérienne ».

L’ARAV a dénoncé des « séquences attentatoires à la pudeur », ayant suscité la désapprobation de larges couches de la société algérienne.

L’ARAV indique avoir prévenu, précédemment, ces chaînes, notamment pendant le mois sacré quant à « la nécessité de prendre en compte la morale et les convenances générales, et de procéder à un contrôle en amont de ses différents programmes ».

La chaîne indique néanmoins, sur son site officiel, que les séquences incriminés ont été diffusées par « inadvertance », se défendant de « toute volonté de nuire à ses téléspectateurs », qu’elle « respecte et œuvre à préserver les valeurs des Algériens ».

La direction de la chaîne a fait part de sa décision de suspendre la diffusion du feuilleton, jusqu’à sa révision épisode par épisode.