Le responsable syndical a annoncé qu’ils ont été poussés à entamer cette grève devant le refus total de dialogue opposé à eux de par l’autorité de tutelle. Les revendications de ces professionnels se résument en « la conclusion d’une caisse sectorielle entre la caisse nationale d’assurance maladie (CNAM) et les représentants du secteur », « la révision des tarifs des séances d’hémodialyse qui n’ont pas été modifiés depuis 1977″ ainsi que « l’actualisation du cahier des charges organisant le secteur et la reprise de la formation des compétences en hémodialyse pour combler le déficit dans ce domaine ».
Tarek Ennaïfer a néanmoins précisé que le service minimum sera assuré pour les cas urgents.