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Quelle bien étrange amazone que Amina Sboui, cette ex-femen tunisienne prétendument rangée des voitures qui, lors de sa relaxe à Tunis, en août 2013, après deux mois passés en prison, jurait ses grands dieux avoir pris ses distances avec la nébuleuse des marionnettes islamophobes téléguidées à distance, et qui, moins d’un an plus tard, réapparaît à Paris, en appliquant les mêmes méthodes obscènes et agressives !
Elle a fait du chemin depuis sa Tunisie natale, et acquis une notoriété fulgurante et sans frontières sur le prodigieux tremplin du scandale, Amina Sboui prétend jouer les pasionaria de la lutte contre l’injustice, mais à qui fera-t-elle croire qu’elle se drape dans la respectabilité d’une féministe engagée alors qu’elle a de nouveau ôté le haut et bombé le torse devant l’ambassade d’Egypte ?
Pour qui roule celle qui a pris ses quartiers dans la Ville Lumière, une capitale réputée pour être inaccessible, et qui a osé pousser le bouchon de la provocation très loin, et même trop loin, en reproduisant les gesticulations hystériques et avilissantes des Femen en signe de protestation contre les 683 nouvelles condamnations à mort des Frères musulmans égyptiens ?
"Je manifeste seins nus car c'est ma façon de lutter. Quand je veux dénoncer l'absence de justice aussi", clame Amina Sboui qui veut nous faire prendre des vessies pour des lanternes, car non contente de singer les semeuses de troubles dépravées dont elle affirme se dissocier, elle se donne en spectacle sur la même scène qu’elles, sur le trottoir, tout près du caniveau…
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