Il a déclaré que les autorités tunisiennes ne réagissent pas par rapport à ce dossier et regrette qu’il ne figure pas parmi les priorités que le nouveau gouvernement va étudier.
D’après M. Hedhili, environ 20 mille personnes ont quitté le pays clandestinement avant le 14 janvier et 40 mille jeunes ont immigré de la même manière après la révolution dont 1500 ont été portés disparus. L’absence de toute stratégie claire vis à vis de ce dossier est regrettable, conclut-il.