Dr Houatmia vient de nous informer qu’ une fille de 04 ans qui a fait un arrêt cardiaque le 20/09/2013 pris en charge correctement par l’équipe des urgences de l’hôpital de Tabarka mais il a été impossible de la transférer vers un service de réanimation des autres Hôpitaux , Jendouba , Béja et Tunis , raison invoquée : manque de place . et c’est la raison que prononce généralement les services des autres hôpitaux lorsqu’ils ne veulent pas recevoir un patient . le problème c’est que la fille est actuellement sous machine à l’hôpital de Tabarka et va finir par mourir dans les heures qui viennent car :

Des femmes tunisiennes se rendraient en Syrie pour y accomplir le «djihad du sexe», a déclaré jeudi 17 septembre Lofti Ben Jeddou, ministre de l’Intérieur tunisien, à la tribune de l’Assemblée Nationale Constituante.

Des mots qui ne veulent pas dire pareil...

(Agences)  De plus en plus, je suis simplement et purement persuadée que les hommes et les femmes ne peuvent pas communiquer. Tout simplement parce que nos mots ne sont pas les leurs. Dur constat.

(Agences) : Le combat n'est plus celui de nos grand-mères ni même de nos mères. Les formes d'aliénations féminines sont plus pernicieuses que dans les années 1950. Et l'engagement demande toujours autant de forces et d'ambitions.

La 8ème édition de Mûsîqât, organisée par le Centre des musiques arabes et méditerranéennes et Scoop Organisation se tiendra du 03 au 12 octobre 2013 dans des conditions financières et organisationnelles exceptionnellement difficiles (désistement du sponsor principal, et changement subit à la tête du CMAM au fort des préparatifs).

Le ministère de la Femme et de la Famille sort enfin de son silence et publie un communiqué, vendredi 20 septembre, pour dénoncer la pratique appelée « jihad du nikah », suite aux déclarations faites par le ministre de l’Intérieur.

«Le Mouvement Ennahdha adhère à l’initiative du quartet et prêt à s’asseoir à la table de dialogue sans restrictions, ni conditions», a confirmé, vendredi, le président du bureau politique d’Ennahdha, Ameur Laarayedh.

Rached Ghannouchi semble traverser les heures les plus sombres de son existence. On pourrait même penser que le ciel lui était tombé dessus. Outre la vague de contestation à laquelle le leader d’Ennahda doit faire face, il pourrait, dans les semaines à venir, répondre devant la justice, si l’épouse du défunt opposant, Mohamed Brahim, mettait ses menaces de porter plainte à exécution.

Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) et le Syndicat général de la culture et de l'information appellent les journalistes à ne plus répondre lors de leur audition par les juges d'instruction. Sauf dans le cadre du décret-loi 115.

La société gérant la radio tunisienne Kalima se met en redressement judiciaire, moins d’un an après son démarrage. Trois millions de dinars ont été injectés, mais les caisses sont vides. Les journalistes et techniciens de la station n’ont pas été payés depuis juillet et observent actuellement un sit-in. Les fournisseurs sont en attente de paiement depuis des mois.