La Tunisie a proposé à l'Algérie d’élargir son contrôle aérien et ses opérations de ratissage des régions frontalières et ce afin de détecter les mouvements et les endroits où se cachent les éléments terroristes et pour élaborer des stratégies militaires aboutissant à des résultats positifs et avec un moindre risque lors de l’attaque des terroristes.
La même source a indiqué que la demande tunisienne est à l’étude par les autorités algériennes qui tient compte de plusieurs considérations dont le principe de la non-ingérence auquel est tenue l’armée algérienne, ainsi que la dégradation de la situation sécuritaire que vit la Tunisie après la prolifération de la menace terroriste.
Cette même source considère que l’Algérie pourrait effectivement accepter cette demande, vu qu’il n’est ni question de présence des forces algériennes sur le territoire tunisien ni de travail militaire, mais il s’agit de ratissage aérien d’une surface bien déterminée.