SOCIÉTÉ- Se marier à un étranger relève du parcours du combattant en Tunisie avec toutes les paperasses administratives, encore plus quand le futur mari n'est pas musulman. Ce dernier est obligé de fournir un certificat prouvant sa conversion à l'islam comme condition à la signature du contrat de mariage.

Après l'affaire des stents périmés, le secteur de la santé connait une nouvelle affaire qui risque de créer la polémique à cause de l'utilisation d'anesthésiant périmé qui a causé le décès de plusieurs personnes dans des cliniques et des hôpitaux.

Le président de la République, Béji Caid Essebsi, a paraphé, dimanche, un décret présidentiel stipulant que le gouvernement démissionnaire continue de gérer les affaires jusqu’à ce qu’un nouveau gouvernement soit formé et prenne ses fonctions.