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La demande d’agrément de son accréditation en tant qu’ambassadeur de Tunisie à Paris doit survoler la méditerranée, en ce moment. Dès sa réception, le Quai d’Orsay, attaché à la longue tradition d’amitié et de coopération bilatérale, ne tardera pas à lui réserver la réponse favorable qu’elle mérite. Mohamed Ali Chihi qui dirigera l’ambassade de Tunisie à Paris et coiffera le réseau consulaire en France, ne manque pas d’atouts majeurs pour réussir dans cette mission.  Pour la première fois dans son histoire depuis l’indépendance, l’ambassade de Tunisie à Paris sera dirigée par un diplomate de carrière issu directement des rangs, en dehors de diplomates promus secrétaires d’Etat ou ministres, autres membres du gouvernement et grandes personnalités. «Ce retour  la diplomatie professionnelle et compétente, avec de grosses pointures discrètes et efficaces, confirme le nouveaux choix de la Tunisie », estime un ancien ambassadeur de Tunisie, nostalgique des premières années de la République.

Amira Yahyaoui, en contact depuis 3ans avec les députés de l’Assemblée nationale constituante dans le cadre de l’association «Al Bawsala», qu’elle préside, a conseillé ceux qui comptent aller voter «d'essayer autant que possible de laisser le choix du parti politique en deuxième lieu et de se baser surtout sur le choix du candidat».

La Marine et la Garde nationale tunisiennes ont renforcé leurs capacités de contrôle des côtes grâce à l'acquisition d'une douzaine d'embarcations de patrouille.

Lors de la plénière de l’ANC du mardi 19 août 2014, le député, Ibrahim Gassas, s’est attaqué aux journalistes tunisiens en les accusant de diffamation envers les députés. Gassas avait dépassé les limites de la bienséance en traitant de tous les noms les médias après la révélation d’une information affirmant qu’il avait reçu de l’argent.

Le Cheikh Farid Béji a reçu une convocation à comparaitre devant le juge d’instruction et ce à la suite de ces propos sur les ondes de Shems Fm mettant en garde contre des opérations terroristes en Tunisie.

Le juge d'instruction de Tunis a libéré, aujourd’hui 18 août 2014, l'imam de la mosquée Al Haramayn à Douar Hicher (La Mannouba) et un des ouvriers de ladite mosquée.