Le président a souligné l'existence de cercles et de lobbies cherchant à attiser la situation, et a déclaré qu'il n'est pas acceptable de justifier le pain classé et injuste, et qu'il faut garantir la disponibilité du pain et des produits de première nécessité, et que le Conseil des Céréales doit être à la hauteur de la tâche qui lui est confiée, car il ne peut pas permettre à ces personnes de compromettre la subsistance des citoyens.
Il a souligné la nécessité de résoudre la question des céréales dans les prochaines heures, en soulignant que le citoyen pauvre ne trouve pas sa part dans son pays, et que cette situation relève d'un réseau criminel travaillant à affamer le peuple, et nous devons nous unir pour mettre fin à ces conditions.
Le chef de l'État a ajouté : "Un coup l'huile, un coup le café, un coup les carburants, et tout cela dans le cadre d'un arrangement visant à attiser la société à des fins politiques bien connues".
Le président de l'État a appelé les responsables administratifs à assumer pleinement leurs responsabilités, soulignant qu'il est inacceptable qu'un responsable serve un parti ou des parties qui ne sont pas visibles mais qui contrôlent ces conditions.