« La loi initialement présentée, prévoyait des sanctions plus sévères contre les infractions électorales. On a remplacé les sanctions pénitentiaires par des amendes, ce qui permettrait aux candidats qui ont les moyens financiers nécessaires d’enfreindre la loi », a-t-il dit.
M. Rahoui considère que ce projet de loi, avec les failles qu’il contient, aide à reproduire un paysage politique similaire à celui du 23 Octobre et ne garantit pas des élections transparentes.