La Fédération appelle dans ce sens à la libération immédiate des deux journalistes qui ont été transférés à la prison de Mornaguia.
La Fédération rappelle que Slim Bagga et Mourad Meherzi peuvent répondre de leurs actes et comparaître devant la justice en état de liberté.
D’un autre côté, la Fédération Tunisienne des Directeurs de Journaux exprime son refus catégorique des tentatives faites par certains partis politiques pour mettre la main sur les médias et particulièrement les médias publics.
La Fédération estime qu’elle défendra avec tous ses partenaires dans le monde des médias la liberté d’expression chèrement acquise et rappelle au gouvernement qu’il doit assumer pleinement ses responsabilités pour protéger le domaine de la presse et les journalistes qui y travaillent. Communiqué