Des milieux proches de la justice font remarquer qu’il s’agit d’une procédure rarissime dans les annales de la magistrature en Tunisie dans le sens où le même juge d’instruction annule sa décision quelques jours seulement après l’avoir prise, surtout qu’il s’agit, dans le cas d’espèce, de plusieurs mandats d’arrêt émis dans plus d’un dossier et suite à plus d’une plainte.