M. Bouraoui précise que le suspect souffre, selon les premières données, de troubles psychiatriques et qu’il se trouve actuellement à l’hôpital Errazi où il aurait avoué le crime à son médecin traitant. Et d'ajouter que les éléments préliminaires de l’enquête, ordonnée par le juge d’instruction, font ressortir que le défunt avait demandé, il y a deux ans, la main de la sœur du présumé meurtrier en se présentant comme étant célibataire et employé au ministère de l’Intérieur et que lesdites fiançailles n’avaient pas abouti.
Les investigations se poursuivent pour déterminer, avec exactitude, les différentes péripéties de ce drame, conclut le porte-parole du ministère public de Ben Arous.