Il a été convoqué à comparaitre, mais il n’a pas donné de réponse à ces convocations, soit parce qu’il n’a pas reçu la convocation en question (cas fréquent), soit parce qu’il se croyait au dessus de la justice.
En ce moment, Khamis Mejri est en état d’arrestation et devrait comparaitre, dès cet après-midi, devant le procureur. Juridiquement, il a le droit de s’opposer au jugement et il pourrait être libéré de suite. Il lui sera cependant impossible de quitter le territoire tunisien, jusqu’à ce que la justice se prononce dans l’affaire pour laquelle il a été condamné.