Une situation « néfaste non seulement pour le parti lui-même mais aussi pour le pays parce qu’il établit un nouveau système dictatorial tout en prétextant vouloir sauver le pays », écrit-il. Il explique cependant qu’il ne quittera pas le parti ayant la conviction que « Nidaa Tounès représente l’épine dorsale du système politique en Tunisie » et invitant ses membres à œuvrer pour qu’il soit bâti sur de réelles bases démocratiques solides.