En dépit de cette situation et contrairement à la tendance générale sur les cinq continents, la Tunisie a pu avancer dans le classement en gagnant sept places. La stabilisation de la situation politique en 2014 a, en effet, profité aux activités d’information, indique le rapport. Cependant, RSF précise que cette amélioration est relative puisqu’en performance absolue, le pays stagne.
Et d’ajouter que le nombre d’agressions ciblant les journalistes demeure élevé et que la mise en pratique de dispositions garantissant la liberté de l’information tarde à se mettre en place. Il est à noter que la Tunisie occupe, suite à cette amélioration, le 126e rang dans le classement mondial des pays en matière de liberté d’expression.