Rafik Chelli précise également que bien qu’ils soient de nouveau en Tunisie, ces personnes restent toujours actives au sein de cellules terroristes dormantes réparties sur la totalité du territoire tunisien.
A rappeler qu’un millier de Tunisiens se sont vu interdire, par le ministère de l’Intérieur, de partir au Djihad en Syrie ou en Irak dans les rangs de cette organisation terroriste mondiale.