La TUS qui dispose d’une flotte de 80 bus, accuse, selon lui, des pertes quotidiennes de 30 à 35.000 dinars en raison de ces grèves.

Il a précisé, dans une déclaration à l’agence TAP, que cette décision a été prise en raison de la poursuite, jusqu’à ce jour, de la grève légale, observée du 15 au 21 février par les agents. « En outre, les parties syndicales de la société ont empêché les agents de reprendre leur travail ».

Le PDG de la TUS a indiqué que les agents sont, maintenant, en grève ouverte, qui est considérée par la société comme «illégale» et évoqué les articles 387 et 388 du code du travail selon lesquels toute grève illégale est considérée comme une rupture de la relation de travail.

Il a expliqué que les responsables de la société ont assisté à plusieurs séances de conciliation avec les agents, en vue de parvenir à des solutions quant à leurs revendications matérielles, affirmant que la société a respecté la législation du travail et a œuvré à préserver les droits de leurs agents.