Le communiqué n’a pas précisé non plus si un accord a été trouvé avec les ravisseurs, une milice relevant de Fajr Libya, qui exigeait la libération de l’un de ses chefs arrêté récemment à sa descente à l’aéroport de Tunis-Carthage et poursuivi par la justice tunisienne dans une affaire de droit commun.