Vie associative : nouveau don de « Lire et Guérir » pour l’hôpital de Tabarka

Tabarka : Touwensa (Mokhtar TRIKI)

Vendredi dernier, l’hôpital de Tabarka a accueilli avec beaucoup de plaisir un nouveau don de notre association- amie de longue date « Lire et Guérir » et ce en présence des responsables d’ADAK (Association de développement Amel de Kroumirie). Un camion container monstre chargé de plusieurs tonnes de matériel médical et paramédical, orthopédie, vélo de rééducation, 150 cartons de bande crêpe, des tables de travail, des lits et matelas anti scarres, des cartons de jeux de société, des aiguilles et des blouses, des tables de restauration, des tables de massage, des chaises et fauteuils roulants, deux appareils de chauffage…

« Ce don est venu au moment opportun pour conforter le matériel sanitaire de l’hôpital régional de Tabarka ouvert au public il y a deux mois, nous a déclaré M. Mohamed Yahyaoui, Vice-président d’ADAK qui ajoute plus loin « C’est le fruit d’une étroite collaboration avec notre association-sœur Lire et Guérir présidée par notre compatriote M. Mohamed Hermi qui considère toujours « que la solidarité entre les peuples ne doit pas être conditionnée par le pouvoir de l’argent, mais par la volonté des hommes ».
 

Pour M. Khaled Ben Hassine, Directeur de l’hôpital de Tabarka, qui était entouré par ses collègues : médecins, paramédicaux, infirmiers et ouvriers, n’a laissé aucun détail en recevant ce nouveau don commençant par la vérification du matériel, comptant les cartons et remerciant les donateurs à cœur vaillant. Un comité de suivie regroupant la direction de l’hôpital, des médecins, de infirmiers et des pharmaciens ainsi que des ouvriers pour le contrôle des produits pharmaceutiques et médicinales et pour dresser une liste et l’adresser au Ministère de tutelle afin d’obtenir le visas d’utilisation  et du magasinage.
 

Avec cette aide humanitaire, M. Mohamed Hermi confirme encore une fois son attachement à son pays de naissance et œuvre pour présenter des dons dans un esprit de soutien et d’échanges aux régions qui souffrent encore de manque de produits médicinaux et d’équipements sanitaires. Et comme il dit souvent : «  Nous préférons la main tendue que le coup de poing, libre aux autre de la saisir ».
                                      
                            
     

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