Il affirme également que ces meurtres ont été commis notamment à Hammamet, Sousse, et Gammarth. Et d’ajouter que les victimes n’étaient pas tous des Tunisiens, il s’agit également de touristes et d’étrangers résidant en Tunisie.
Le responsable, qui cite le meurtre commis contre un homosexuel italien en 2014 et un autre contre un Asiatique en 2011, dénonce quelques pratiques homophobes de la société, tout en pointant le discours stigmatisant de quelques politiciens.