M. Marzouk a regretté que des propos pareils proviennent d’un conseiller du président de la République censé s’occuper d’autres questions plus stratégiques avant de préciser que le chef de l’Etat ne peut, en aucun cas, croire à de pareilles énormités.
« Chaque fois que j’ai rencontré le président de la République, je l’ai trouvé en super forme et je m’en félicite, a-t-il indiqué en substance avant de déplorer que ce soit un conseille à la présidence lance le débat sur une question qu’il ne fallait pas aborder car celui qui fait de la politique en comptant sur Azraël, doit aller faire autre chose».
Evoquant, par ailleurs, le gouvernement d’union nationale, Mohsen Marzouk a déclaré que son parti lui a accordé une confiance avec sursis et que s’il venait à dévier, il ne serait pas à écarter qu’il rejoigne, carrément, les rangs de l’opposition.
Et tout en souhaitant que ce gouvernement réussisse dans sa mission pour le bien de la Tunisie, le patron de Machrou3 Tounès a indiqué qu’il serait très heureux de voir de nouvelles figures faire leur entrée sur la scène politique et partisane. Il a cité, à cet effet, notamment, Mehdi Jomâa et Mondher Znaïdi.