En effet, le conseil exécutif de la FTDJ s’est réuni en urgence le soir du 24 octobre 2016 pour discuter les attaques répétitives dont le secteur est victime.
Par ailleurs, Elle a publié un communiqué détaillé qui comporte cinq points essentiels. Ce dernier a d’abord condamné fermement les accusations qu’il a qualifiées d’ignobles et d’infondées. Par la suite, il a fustigé la passivité de l’Etat et ses gouvernements successifs vis-à-vis les intrus qui essaient d’asservir et de manipuler la presse pour servir des intérêts personnels. Le communiqué a par la même occasion appelé l’Etat à assumer ses responsabilités envers le secteur en rappelant que c’est l’un des piliers de la démocratie tunisienne naissante. Elle a signalé que la presse écrite résiste depuis plus de cinq ans aux nombreuses tentatives de la corrompre et aux campagnes de dénigrements systématiques qui passent sous silence.
Notons que la Fédération a clairement appelé à traduire en justice la personne qui a tenu les propos diffamatoires aux journalistes.