Suite au mandat de dépôt émis contre l’ancien chef du gouvernement et vice-président d’Ennahdha, Ali Larayedh, dans l’affaire « d’expédition vers les foyers de tension » (Tasfir), le mouvement Ennahdha dénonce « une tentative désespérée et manifeste » de ce qu’il qualifie « le pouvoir du coup d’Etat et son président, Kaïs Saïed, pour couvrir l’échec cinglant des élections législatives mascarade, boycottées par plus de 90 % des électeurs ».