« Le fait que les étrangers soient la cible des terroristes nous inquiète. Je dois me concentrer sur le jeu de mon équipe, mais ce n’est toujours pas évident. A chaque fois, ma famille m’appelait et me disait ‘Allons-y ! Le jour de l’attentat, je suis rentré du Parc et ma femme était inquiète. J’ai parlé aux responsables du club et ils m’ont expliqué ce qui s’est passé », explique José De Morais dans des propos relayées par les médias portugais.
La famille de l’entraineur de l’Espérance n’est pas restée en Tunisie et est rentrée au Portugal. De Morais est quant à lui resté à Tunis mais ne cache pas sa peur, « J’ai peur que ceci devienne plus organisé. On parle de la possibilité que les extrémistes se mettent à kidnapper les étrangers », poursuit-il.