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Un essai, aujourd’hui : celui de la nouvelle génération de Jeep Cherokee. C'est un de ces "SUV", qui sont dans la tendance du marché et du coût du public, actuellement.
Le Cherokee, c’est une institution. Le premier avait été conçu par Renault car Renault était propriétaire de la marque American Motors ; laquelle possédait Jeep.
Vous vous souvenez peut-être de ce Cherokee des années 80 : un look très carré – on en voit encore aujourd’hui. C'était LE premier tout-terrain avec une carrosserie monocoque ! Depuis, les Cherokee étaient devenus plus banals.
Une esthétique bien dans l'air du temps
Mais cette quatrième génération arrive avec une ligne typée, et des veilleuses avant implantées très en hauteur – un peu comme le récent Citroën C4 Picasso ; c’est original.
Depuis le premier Cherokee, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts, Jeep appartient désormais à Fiat, et l’actuelle Cherokee repose sur une base mécanique d’Alfa Romeo Giulietta. C’est un "gros bébé", qui mesure plus de 4,60 m.
Pour la première fois, il est disponible, aussi, en 2 roues motrices – en traction avant, pour réduire la consommation. Ce qu’il a gagné, c’est surtout une douceur générale : douceur de conduite, des commandes, docilité et équilibre du comportement routier, il est devenu une bonne voiture, pour la route.
Son moteur diesel – Fiat – est vraiment convaincant, et, bonne surprise, il ne consomme pas trop : vous pouvez descendre à moins de 7 l, sur route.
LE gros défaut du Cherokee : son coffre, vraiment petit. Mais, même en finition intérieure, un point qui n’était vraiment pas fort il est devenu tout à fait valable.
Ses prix sont cohérents : à partir de 35.000 €.
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