Pourtant, il y a quelques semaines, Hechmi Hamdi annonçait à ses « fans » sa victoire et leur apprenait que le gouvernement tunisien avait cédé en annulant cet accord touristique. Rapidement démenti par les autorités, Hechmi Hamdi a repris sa campagne. Dernier argument en date : la lutte contre cet accord serait plus importante encore que de tenter de régler les problèmes de chômage et d’inégalité sociale. Pour lui, le « danger chiite » est plus urgent à combattre puisque les autres problèmes peuvent être réglés rapidement avec la justice sociale et fiscale…