L’ONJ Daniel Yvinec

Touwensa (agences) Mokhtar TRIKI

En conclusion de la riche histoire de l’ONJ Daniel Yvinec, Citizen Jazz vous propose un voyage rétrospectif retraçant les aventures de cet orchestre pas comme les autres.

Après avoir publié sa rencontre avec Jean-Jacques Birgé (lequel avoue ici que l’ONJ lui en « bouche un coin ») en 2008, et l’avoir soumis à la question dans le boudoir, Citizen Jazz a interviewé Daniel Yvinec en 2012, après la sortie de Piazzolla !.
 

Les deux premiers volets sont ici, et la suite là
 

Pour nous, le directeur artistique de l’ONJ 2008-2013 décrit en détail les raisons qui l’ont incité à s’inspirer d’Astor Piazzolla pour le nouveau répertoire de l’orchestre, et à faire appel à Gil Goldstein pour les arrangements.
 

Daniel Yvinec poursuit en évoquant les répertoires en cours - notamment les « Dixcover(s) » - et les projets d’alors : « Democracy/Work in Progress » (dans le cadre de sa résidence au Festival de Radio France Montpellier-Languedoc-Roussillon durant l’été 2012), qui sera suivi, pour la fin de son mandat (31 décembre 2013), par « Caravan(e) », restitution d’un travail avec des musiciens marocains, et « The Party », répertoire du quatrième disque de l’ONJ Daniel Yvinec après Around Robert Wyatt (2009), Shut Up and Dance (2011) et bien sûr Piazzolla ! (2012).

 

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