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Le prodige suisse sort Too Old to Die Young.
Avec sa frimousse de jeune premier, le Suisse Bastian Baker a été pris par erreur à ses débuts comme un possible challenger helvète de la mèche de Justin Bieber. Né Bastien Kaltenbacher le 20 mai 1991 à Lausanne, il est le fils du joueur de hockey Bruno Kaltenbacher. C'est d'ailleurs à ce sport qu'il se destine à l'origine avant de bifurquer vers la musique. Invité dans le off du Montreux Jazz Festival en 2011, Bastian Baker ne tarde pas à devenir une idole en Suisse.
C'est d'ailleurs de cet engouement spontané que vient la méprise sur sa possible similitude avec l'auteur de My World 2.0. Son premier album Tomorrow May Not Be Better sorti en septembre 2013 est numéro trois des Swiss Charts et disque de platine dans son pays. Son contenu gentiment folk pop peut effectivement laisser planer un doute sur la véritable portée artistique de son travail. La France n'en a cure et s'entiche également du jeune homme, de même que la Belgique.
En 2012, sa reprise du « Hallelujah » de Leonard Cohen dans une version proche de celle de Jeff Buckley en 1994 en dit long sur ses capacités vocales et devient son premier tube. Sorti fin septembre en Suisse, son deuxième album au titre ironique de Too Old to Die Young est la meilleure vente du pays cette semaine là. La France découvre Too Old to Die Young le 7 octobre, et constate que Bastian Baker malgré quelques références encore un peu trop visibles est en train de devenir un vrai singer songwriter de talent. Et sans avoir besoin de fantaisies capillaires.
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