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Il fait beau, presque chaud, et tout ça me donnerait presque envie de reléguer mes collants noirs au fond d’un tiroir. Sentir le soleil caresser mes jambes, dénuder mes épaules… et rebelote, comme chaque année, hésiter perpétuellement -ou plutôt quotidiennement- entre l’épilation à la cire ou ce bon vieux rasoir, vous savez, celui qui traîne dans la salle de bain, sur rebord de la baignoire. Non pas que je me la joue femme des cavernes le reste du temps mais avouez que la petite robe fleurie esprit printanier ne supporte pas le moindre poil oublié sur le mollet -ce qui se camoufle fort bien sous une paire de 40 deniers noirs en plein mois de décembre, par exemple.
Qui n’a jamais rêvé de se débarrasser pour de bon de ces satanés poils? Alors oui je sais, vous allez me dire que ce n’est pas forcément sain, qu’en pensant comme cela je cautionne l’hygiénisme ambiant -quoi qu’avec la récente mise en lumière des poils pubiens de Gwyneth, Kate et Cameron, la tendance semble s’inverser- mais je vous le dis tout de go: les bras et jambes velus, c’est no way. Pour le reste, c’est privé (et heureusement, il y a l’institut).
Adolescente, j’ai usé et abusé du rasoir malgré les recommandations de ma mère: « Attention, tes poils vont repousser drus! Tu devrais utiliser de la cire ou essayer l’épilateur électrique ». Quelques années plus tard, fatiguée de me raser tous les deux matins sous la douche -quand je ne me taillais pas l’aisselle ou le genou-, j’ai décidé de changer de méthode. A mes risques et périls j’ai donc testé:
La cire orientale
Au sucre, senteur citron ou pomme d’amour (sic), à chauffer au bain marie, à appliquer à l’aide d’un roll-on ou carrément froide à utiliser avec des bandelettes prédécoupées: la ga-lè-re. Rien à faire, je ne suis jamais arrivée à quelque chose de niquel -à moins d’y passer la journée, les doigts englués dans une mélasse caramélisée, les nerfs à vifs.
La crème dépilatoire
Je n’irai pas par quatre chemins: ça pue ça sent vraiment mauvais, ça irrite -voire même ça brûle- la peau -jusqu’à la rendre rouge sur les zones les plus sensibles dans mon cas. En bref, plus jamais.
L’épilateur électrique de maman
J’ai fini par emprunter celui de la mère. Naïve, j’ai commencé par l’aisselle droite. J’ai hurlé -et me suis retrouvée avec seulement une moitié d’aisselle épilée, refusant tout net de pousser le vice plus loin.
L’épilateur électrique qui fonctionne sous l’eau
J’ai mis quelques mois à franchir le pas avec le Braun Silk Epil 7 Xpressive Wet & Dry. J’étais à la fois emballée par sa promesse d’épilation « durable » anti-douleur -l’eau chaude ouvre les pores, ce qui anesthésie un peu la peau et facilite l’épilation- ainsi que par les bons échos glanés sur la blogo et un peu effrayée: de l’eau, un appareil électrique… pas vraiment envie de me la jouer Claude François. J’ai finalement surmonté ma trouille et osé un demi-mollet, avec succès et quasiment sans douleur. Jusqu’à oser faire sa fête au deuxième. En bref, une bonne surprise qui, je pense, vaut l’investissement pour celles qui ne craignent pas de l’utiliser sur leur trinité pileuse (jambes, aisselles, maillot). En ce qui me concerne, étant assez douillette, difficile de m’en servir sur les aisselles, là où la peau est très fine (je ne vous parle même pas du maillot). Sans compter que pour cela, il faut laisser les poils repousser un minimum. Un supplice pour toute control freak du poil.
La cire à base de résine naturelle
La seule qui trouve grâce à mes yeux est commercialisée par la marque Nair (Cire Divine). A chauffer au micro-ondes ou au bain marie, elle s’applique à l’aide d’un bâtonnet de bois et se retire sans bande. En séchant, la résine qui la compose emprisonne les poils -même très courts-, ce qui facilite clairement leur épilation. Sur moi, c’est l’une des méthodes les moins douloureuses (bon OK, ça picote un peu au moment de tirer sur la bande à rebrousse poils), et sans doute la plus efficace: elle garantit au moins 7 jours de tranquillité moyennant 10 minutes passées sur chaque aisselle, à titre d’exemple.
Au final, c’est cette dernière méthode que je privilégie, en alternance avec le rasoir -utilisé avec la mousse à raser de Mister T. ou une crème de douche. Je l’avoue, c’est une solution de facilité les jours de flemme et la plus rapide en ce qui concerne l’épilation des jambes. J’aimerais pourtant savoir m’en passer tant il irrite ma peau sur le long terme, pour un confort tout relatif (compter deux-trois jours avant de voir réapparaître les affreux). Peut-être un jour finirai-je par succomber à l’appel du laser… mais ce sera une autre histoire et surtout, un autre budget.
Et vous, quelle méthode maison privilégiez-vous?
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