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À 50 ans, les hommes trouvent qu'ils ont la vie devant eux... ou presque. À 70 par contre, c'est tout l'inverse ! La joie décline pour laisser place à la bougonnerie ou à l'humeur massacrante, une cette étude publiée récement dans la revue Psychol - PT Images/Shutterstock.com
À 50 ans, les hommes trouvent qu'ils ont la vie devant eux... ou presque. À 70 par contre, c'est tout l'inverse ! La joie décline pour laisser place à la bougonnerie ou à l'humeur massacrante, une cette étude publiée récement dans la revue Psychology and aging.
Carolyn Aldwin, son auteure principale et professeur de gérontologie au College of Public Health and Human Science à l'Université d'Oregon, a compilé les observations et données se rapportant à 1.315 hommes âgés de 53 à 85 ans, en majorité des vétérans qui participaient à une enquête menée entre 1989 et 2004.
Près de 80% d'entre eux ont rapporté que la vie devenait plus facile à 50 ans. Seuls 20% se disaient plus heureux depuis la retraite. Tous s'accordaient en revanche sur le fait que la vie commençait à décliner à l'âge de 70 ans pour de multiples raisons : problèmes de santé, perte d'êtres chers ou déficience cognitive, entre autres.
La bougonnerie qui en découle toucherait plus particulièrement les hommes atteints de la maladie d'Alzheimer et se traduit par des sautes d'humeur et de l'irritabilité. Des moments difficiles à vivre pour l'entourage soumis à davantage de stress.
Seule consolation, les hommes bougons pensionnaires de maisons de retraite vivraient plus longtemps que les autres, selon une autre étude menée sur le sujet. Mettre des mots sur son mécontentement est un moyen d'attirer l'attention et de recevoir de meilleurs soins et services que ceux qui souffrent en silence analyse Carolyn Aldwin.
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