Le retour de la gale, une maladie très contagieuse affectant la peau, et que l’on croyait complètement disparue en Tunisie depuis les années 1960, est due aux mauvaises conditions d’hygiène, à l’insalubrité des lieux et à la promiscuité.

Le ministre de la Santé, Abdellatif Mekki, va sortir de nouveau pour nous dire que la situation épidémiologique dans le pays n’a jamais été aussi bonne et si bien contrôlée qu’elle l’est aujourd’hui, sous le règne du «meilleur gouvernement que la Tunisie ait eu durant toute son histoire» (dixit Rafik Abdessalem).