Hassine a déclaré qu'éduquer les gens et leur fournir des données précises a toujours été l'une des tâches des médias en général et des médias publics en particulier, ajoutant que la politisation des informations présentées ne vient pas à l'esprit du citoyen, mais plutôt que certaines personnes et les partis ont délibérément profité de telles situations. Pour se servir ou frapper leurs concurrents... Nous sommes complètement hors de ce contexte.

La journaliste et chercheuse des médias a considéré ce qui s'est dit comme une bulle sans signification, selon ce qu'elle a dit à Mosaique.

Samia Hassine a déclaré que les informations présentées dans le reportage sur le lait demi-écrémé causant plusieurs maladies sont connues depuis des décennies et confirmées par des nutritionnistes et des médecins, et que la télévision nationale n'a rien apporté de nouveau à cet égard.

Samia Hassine a souligné la nécessité pour les médias de poser les vraies questions, loin des agendas qui guident l'opinion publique. Parmi ces questions liées à la problématique de la crise du lait figure « comment le lait est-il disponible pour faire du beurre et non disponible pour faire du lait demi-écrémé ?