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La Confédération Africaine de Football avait cru pouvoir intimider la Fédération tunisienne de football en la sommant de présenter ses excuses après les protestations et les accusations de corruption dont elle a été l’auteur suite à l’arbitrage « scandaleux » du match Tunisie-Guinée Equatoriale comptant pour les quarts de finale de la CAN 2015. Alors qu’elle avait jusqu’au 5 février à minuit pour faire son mea culpa à la CAF, la Tunisie a indiqué qu’elle ne présentera pas d’excuse à l’instance dirigeante du foot africain après une réunion de la Fédération le 4 février dernier. Effectivement, elle ne l’a pas fait et le délai fixé par Issa Hayatou et compagnie est désormais passé.
Qu’est ce qui attend la Tunisie ?
Après ce refus, il est clair que la Fédération tunisienne a opté pour un bras de fer avec la CAF. Reste à savoir si l’instance d’Issa Hayatou mettra à exécution ses menaces.
Il y a quelques jours, la CAF a menacé, au cas où la Tunisie refuserait de lui présenter des excuses, de « la possibilité de refuser la participation de l’équipe nationale à la prochaine édition de la Coupe d’Afrique des Nations, CAN 2017 ».
Mettra-t-elle cette menace à exécution en dépit de l’injustice dont la Tunisie a été victime de la part de M. Seechurn Rajindraparsad ? La CAF est désormais prise entre le marteau et l’enclume. Si elle ne met pas sa menace à exécution, elle court le risque de pousser les gens à ne plus accorder de l’importance à ses injonctions. Si, au contraire, elle le fait, elle privera de la CAN 2017 une équipe dont tout le monde ou presque reconnait qu’elle a été injustement trichée.
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