Pour raconter leur histoire même nécessaire de revenir au XIe siècle.
 

Selon Raphaël Raymond, (dans les hommes et les événements de l'ancienne tour grecque , qui a été publié à titre posthume en 1985) , la première colonie de l'exploitation du banc corallifère Tabarka est venu de la Pisani qui a commencé en 1087 quand ils ont défait à la bataille de la Tunisie Mahdia.
 

En 1016 Pise et de Gênes sont alliés et ont vaincu les Sarrasins contrôle l'acquisition d'une grande partie de la mer Tyrrhénienne et la Méditerranée.
 

En 1167 les Pisans entré dans la pleine propriété de l'île de Tabarca pour la vente du Bey de Tunis-Abdallah Bockoras.
 

En 1284, les deux républiques se battaient entre eux au lieu de Gênes et Pise défait à la bataille de Meloria.
 

Selon Fiorenzo Toso (dans les îles Tabarkine , 2001): «Au cours de la première moitié du XVIe siècle, dans le contexte de la politique espagnole de la rive sud de la Méditerranée, l'île tunisienne de Tabarca fut fortifié et habité par une colonie de Ligures au service d'une noble famille Lomellini engagé dans l'exploitation des riches récifs coralliens de la région ".
 

En plaçant ce moment de l'histoire, nous parlons d'environ 80 ans après la chute de Constantinople (1453).
 

Gênes était à l'époque une puissance super-économique réelle, la dominance maritime et militaire en Méditerranée et au-delà.
 

[Sur la photo vous pouvez évaluer l'influence de biens politico-économiques et génois]
 

Le seigneur Lomellini peuplé l'île de Tabarka, surplombant la ville du même nom, l'envoi de colons de Pegli, ville génoise (maintenant un quartier de Gênes), de continuer l'exploitation de la barrière de corail.
 

"La seule enclave chrétienne longue de la côte du Maghreb [F. Toso, Îles Tabarkine, cit.] Tabarca est rapidement devenu un important centre de commerce, jusqu'à ce que, dans la première moitié du XVIIIe siècle, la pression accrue et les difficultés intérieures françaises conduit pas partie de la population à la recherche de nouvelles maisons pour leurs activités économiques rentables.
 

En 1738, il y eut donc Carloforte sur San Pietro en Sardaigne et, quelques décennies plus tard, a eu lieu crédits Calasetta sur la côte de l'île voisine de Sant 'Antioco et Nueva Tabarca, près d’Alicante. Les deux communautés Tabarkan de la Sardaigne, intégré dans un réseau de relations commerciales élargies à nouveau tout au long du XIXe siècle entre Gênes et la Tunisie prospéré pendant une longue période, en fondant leur économie sur les activités maritimes, le commerce de gros, la pêche, la culture intensive de la vis, la culture d'une solution saline, l'exploitation des pièges et le transport du minerai extrait dans le Sulcis. "
 

La communauté Tabarkine, en dépit de la diaspora, ont maintenu des liens étroits avec l'autre et avec Gênes, grâce à la spécificité linguistique de leur langue, une variante de génoise encore parlée par la majorité de la population.
 

Ce lien a permis à la communauté de continuer commerce florissant et le commerce dans la Méditerranée.