LA BELLE ET LA BÊTE

Touwensa (Agences) Mokhtar TRIKI

De : Christophe Gans

Avec : André Dussollier, Eduardo Noriega, Léa Seydoux, Vincent Cassel, Audrey Lamy, ...  Durée : 109 minutes | Couleur : Non

Année : 2014 | Restriction : Tous publics

Synopsis :
 

1720. Un marchand ruiné, veuf et père de six enfants – trois garçons, trois filles – est destiné à mourir pour avoir volé une rose dans le domaine magique d’un monstre nommé « la Bête ». Décidant de se sacrifier, Belle, l’une des filles du marchand, se rend au château de la Bête, pour y prendre la place de son père...
A propos

 

115 ans après la Belle et la Bête, première adaptation cinématographique du fameux conte, produite par la société Pathé en 1899 et après une bonne quinzaine d’autres versions, dont celle de Jean Cocteau en 1946 et celle des studios Disney en 1991, c’est au tour de Christophe Gans, déjà auteur de Crying Freeman et du Pacte des loups, d’en réaliser sa version, sortie en février 2014 et également produite par la société Pathé.

Nous sommes en 1720, un marchand ruiné, veuf et père de six enfants – trois garçons, trois filles – est condamné à mourir pour avoir volé une rose dans le domaine magique d’un monstre, le bien nommé « la Bête ». Belle, l’une des filles du marchand, décide de se sacrifier en prenant la place son père auprès du monstre. La suite, vous la connaissez peut-être... de toute façon, je ne vous en dirai pas plus.

Le marchand ruiné, c’est André Dussollier, qu’on allait retrouver quelques semaines plus tard en compagnon de Sandrine Kiberlain dans Aimer, boire et chanter, le dernier film d’Alain Resnais ; Belle, sa fille, c’est Léa Seydoux, qui abandonnait tout juste la belle Adèle du film d’Abdellatif Kechiche pour « la Bête », alias Vincent Cassel qui, lui, retrouvait Christophe Gans, treize ans après son rôle de comploteur manchot et incestueux du Pacte des loups.



 

 

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