Sur le red carpet, c’est forcément elle la plus belle. A 39 ans, Angelina Jolie continue d’éblouir les foules par ses nombreuses qualités comme son talent, son courage face à la maladie, son engagement, et bien entendu sa beauté hypnotique. Mais attention, un visage aussi parfait, ça demande du travail. Certes, la célèbre Angie a plutôt était gâtée par la nature, mais si on en croit le Daily Mail, elle a plus d'un tour dans son sac pour être la plus rayonnante d’Hollywood. Là où Kim Kardashian va loin en s’offrant un masque vampire, Angelina Jolie, elle, mise plutôt sur son dermatologue. Outre son équipe de maquilleurs sur-entraînés, la belle dépenserait ainsi près de 18 700 euros par an chez le docteur David Colberg.
 
Celle qui ne se dit pas vraiment pressée d’épouser Brad Pitt, aurait rencontré le dermatologue il y a quatre ans sur le tournage d’un film. Très plébiscité par les stars, c’est notamment lui qui se cache derrière les mines radieuses de Jennifer Lawrence, Sienna Miller, mais également Daniel Craig. Quoi qu’il en soit, le courant est tout de suite passé entre la star de Maléfique et le docteur Colberg. En quelques années, elle aurait ainsi dépensé près de 75 000 euros chez lui !

Il faut dire que le médecin américain offre des prestations uniques en leur genre. Micro-dermabrasion, traitements au laser, peeling chimique… rien n’est trop pointu pour illuminer le minois des stars. Et si Angelina Jolie dépense chaque année une fortune en soins en tout genre, c’est que le dermatologue n’affiche pas les prix les plus bas de Los Angeles. Le Daily Mail rapporte ainsi qu’il empoche 870 euros pour un soin visage de 45 minutes.

Et pour être la plus belle jusqu’au bout des ongles, Angelina Jolie s’offrirait également un soin complet du corps à 18 000 euros avant chaque tournée promotionnelle. Récemment, le célèbre dermatologue confiait : « Cela peut être dur pour les acteurs, car on leur demande d’afficher une apparence parfaite tout le temps. Le commun des mortels peut se dire : ‘eh, ma peau n’est pas au top aujourd’hui’, mais cette façon de penser ne marche pas pour eux ».