Cette-fois encore, le Festival de la poésie maghrébine s’affirme comme le lieu d’une poésie vivante, multiple, osée. Incarnée par une quarantaine de poètes venus des cinq pays du Grand Maghreb. La poésie sera au cœur de toute la programmation : lectures, performances, mais aussi des spectacles et des expositions et une table ronde avec la participation d’au moins quatre critiques littéraires tunisiens et algériens. C’est la rencontre entre les poètes, les artistes et le public qui fera sans aucun doute la force de ce Festival. Durant deux jours, se tissera une atmosphère unique : le public flânera d’un espace à l’autre dans la petite ville de  la haute vallée de la Medjerda : Bousalem. Découvrira des poètes et des écrivains et se laisse peu à peu emporter dans l’ambiance unique d’une chaleureuse ville où la culture est reine.
 

Lors de cette première édition, le grand poète marocain Mohamed Bénis, natif de 1948 à Fès et un des grands poètes innovateurs du monde arabe  , sera le grand invité d’honneur et lira ses poèmes et signera ses publications dans une séance de dédicace. Œuvres en droite ligne de la poésie marocaine.
 

Ce festival sera construit autour d’une triple identité : la poésie, la voix, le Maghreb. En effet cette identité s’appuie sur la réalité maghrébine de Bousalem, sur la mixité et les origines de sa population, dans une ville à taille humaine où la proximité rendra la rencontre possible. Le Festival investira toute la Maison de la Culture, déployant la poésie jour et nuit dans une atmosphère conviviale et fraternelle.
 

Enfin ce Festival aura pour ambition de donner à entendre à un large public les mots de poètes maghrébins contemporains, de rapprocher les pays et les hommes et de nous immerger dans une intensité poétique.