La salle De Centrale est bien connue à Gand et programme tout au long de l’année des activités culturelles et notre diva connait bien cette salle puisqu’elle s’y est manifestée il ya deux lors de sa tournée avec le quartet jazz belge hijaz et a laissé de bons souvenirs. Et c’est pour cette raison que les organisateurs l’ont proposé pour honorer la Tunisie à cette occasion.
 

Abir sera accompagnée de musiciens tunisiens résidents à Paris à savoir Ahmed Jbali (joueur du luth) et le directeur artistique de ses spectacles sans oublier Siefeddine Hélal (percussionniste) et deux musiciens français Jérôme Seguin (bassiste) et Olivier Cahours (guitariste). Le programme du concert comportera ses propres chansons et d’autres puisée du patrimoine musical tunisien avec une nouvelle conception et promet de faire jouir ses fans comme d’habitude.
 

Après ce concert, Abir se déplacera à Bruxelles pour donner un deuxième spectacle le 15 janvier à l’espace culturel Zoart. Elle sera accompagnée par le luthiste Ahmed Jbali avec un programme qui allie chanson tunisienne et orientale pour le bonheur de ses fans et la musique de qualité.
 

Abir Nasraoui, prépare à l’Institut du Monde Arabe un nouveau spectacle qu’elle a dénommé « Au cœur du soufisme » et prévoit sa présentation au public le 27 mai 2016 dans le cadre de la saison culturelle de l’Institut. Dans ce spectacle, Abir présentera des chansons soufis d’origines islamiques et elle sera accompagnée par une chorale française avec une technique religieuse pour montrer au monde que dans cette vie il n’ya pas mieux que la tolérance. Ce spectacle regroupera trois artistes de taille à savoir Abir Nasraoui (Chant), le tunisien résident en Belgique Mofdhal Adhoum (joueur du luth) et la française Agathe Bioulès, directrice de la chorale.
 

Il est à rappeler que le monde de la chanson soufi n’est pas nouveau pour Abir Nasraoui. Elle a eu une expérience avec Samir Agrébi dans la Hadhra en 1998 et avec Nacir Chamma en Egypte en 1999 où elle participer au spectacle « Leilat el ichk al ilahi », enfin son expérience avec Khaled ben Yahya dans « Bhour el ichk » en 2008 et qui demeure jusqu’à nos jours.
 

Mettant régulièrement sa notoriété au service de la bonne cause, Abir Nasraoui a aussi ce petit supplément d’âme qui donne à ses interprétations une émotion particulière. Ses concerts promettent d’être aussi chauds comme d’habitude.
 

Continue à nous plaire Abir, nous vous suivons toujours.