Les travaux, guidés par le maître d’œuvre Conseil I.D.D.é, se sont terminés quelques jours avant les fêtes de fin d’année, «Pile à l’heure pour la messe de Noël», souligne Jacques Armand, chargé des opérations lors des travaux.

Remise aux normes et amélioration

Le chauffage, auparavant insuffisant, a été revu et deux gros générateurs à gaz ont été placés de manière très discrète par les sociétés GDF, Thermatic et Aldebert. Produisant 920 kWatt, ils permettent d’atteindre une température ambiante, 17 °C, en quelques heures seulement.

Le système électrique a été remis aux normes par la société Marti (Onet Le Château). Les éclairages électriques ont eux aussi fait l’objet de travaux. La rénovation des vieux lustres a permis de conserver le patrimoine de l’église tandis qu’un éclairage ambiant ou de mise en valeur était installé. Les sociétés en ont profité pour disposer des éclairages de sécurité et un dispositif incendie dans l’édifice.
Mise en valeur

Conseillés par les architectes de la société ABF, d’autres sociétés se sont penchées sur la mise en valeur de ce monument inscrit au patrimoine depuis 2005.

Ainsi, les mosaïques au sol ont été rénovées par l’entreprise Socra, qui a repris tout le dallage. Tandis que les entreprises Besombes et Loubière s’attardaient sur des travaux de serrurerie et de plâtrerie.

Les moteurs des 13 cloches, abritées dans les deux clochers, ont été réparés par la société Bodet. Un automate a également été placé afin de jouer des mélodies correspondantes aux diverses cérémonies.
Une paroisse engagée

La paroisse Notre Dame de l’Assomption a tenu à participer aux travaux à hauteur de 70 000 €. Une somme qui montre la volonté de la paroisse de préserver ce monument religieux.