En effet, la quinquagénaire explique au Journal de Saône-et-Loire qu’une odeur « atroce » l‘a alertée. Examinant les petits pots de plus près, elle découvre qu’à l’intérieur se trouvaient des souris mortes : « Elles étaient moisies. J’étais dégoûtée », se souvient-elle.

Un cas exceptionnel

La maman a décidé de réagir en déposant une main courante au commissariat. Elle a également tenu à alerter la Direction départementale de la protection des populations, qui s’occupe de vérifier la sécurité alimentaire et la bonne information du consommateur.

Le directeur du supermarché Leader Price dans lequel les fameux yaourts ont été achetés s’est exprimé à propos de cette affaire peu ragoûtante, et affirme que son établissement avait bel et bien effectué les contrôles habituels. Simplement, « il s’agit d’un cas exceptionnel, fort heureusement », explique-t-il. Ce qui est sûr, c’est que Christine Marino n’est pas près de racheter des yaourts de sitôt.

Fin 2016, la nourriture pour bébé avait également payé les frais des résultats d’une étude de l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, qui démontrait que des polluants et des métaux lourds présentant un risque pour la santé avaient été retrouvés dans certains produits tels que des petits pots aux légumes, du riz ou encore des céréales.