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Le pays du Cèdre se prépare à un tournant politique majeur avec l'annonce du Parti des Forces libanaises, des Kataëb, des blocs parlementaires et des députés indépendants de la candidature de Jihad Azour à la présidence de la République libanaise.
À l'issue d'une réunion réunissant des représentants des forces chrétiennes, le candidat à la présidence libanaise, Michel Maawad, a annoncé son retrait en faveur d'Azour. Les participants ont également souligné leur accord avec le Courant patriotique libre dirigé par Gebran Bassil sur la candidature d'Azour, le qualifiant de personnalité "modérée et non provocatrice".
L'Agence nationale d'information libanaise a relayé les propos de Gebran Bassil, chef du Courant patriotique libre, qui a déclaré que "le consensus sur le nom d'un candidat et l'accord des principaux blocs pour le soutenir et lui donner la représentation nécessaire sont des éléments importants pour le Liban".
Il a souligné que le Courant patriotique libre cherche à sortir de la vacance présidentielle et à permettre l'élection d'un président de la République qui bénéficie du soutien du courant pour réussir, évitant ainsi que le courant lui-même ne soit tenu responsable de ses erreurs en cas d'échec.
Jihad Azour occupe actuellement le poste de directeur du département du Moyen-Orient et de l'Asie centrale au Fonds monétaire international. Il a précédemment été ministre des Finances dans le gouvernement de l'ancien Premier ministre Fouad Siniora.
Cette annonce suscite des réactions diverses au Liban, avec certains saluant la recherche d'un consensus politique et d'une personnalité capable de sortir le pays de la crise actuelle, tandis que d'autres expriment leurs réserves quant à cette nomination et appellent à une représentation plus large et équilibrée.
La prochaine élection présidentielle au Liban sera un moment clé pour le pays, avec l'espoir de restaurer la stabilité politique et de relancer l'économie. Les regards sont désormais tournés vers le processus électoral et les discussions politiques qui façonneront l'avenir du Liban.
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