National

La cellule de crise chargée du suivi des développements en Libye s’est réunie, lundi 12 janvier 2015, pour poursuivre l’examen du dossier des deux journalistes tunisiens enlevés en Libye, Sofiane Chourabi et Nadhir Guetari, sous la présidence du secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères, Fayçal Gouiâa, et en présence de représentants des ministères de la Défense, de l’Intérieur et des Droits de l’Homme.

Dans un communiqué rendu public en date du 11 janvier 2015, la Haute autorité indépendante de la communication audiovisuelle a annoncé que les chaînes Al Wataniya 1, Zitouna, TNN, Nessma et Hannibal Tv ont été sanctionnées pour avoir publié la vidéo des aveux des deux présumés assassins du policier égorgé à El Fahs, Mohamed Ali Charaâbi.

Tabarka : Touwensa - Mokhtar TRIKI

Ayant rencontré notre amie de longue date Monique Longerstay, fondatrice de l’AHAKM de Tabarka depuis les années 70 et Présidente du Pays Vert, elle nous a fait part d’un travail d’un travail qu’elle a mené pour soutenir notre collègue Amel Zneidi et présidente d’une association culturelle polyvalente afin d’aménager et d’organiser des salles spécialisées pour l’apprentissage des langues, en particulier l’anglais au Lycée de Tabarka.

Mustapha Abdelkebir, membre la commission mixte tuniso-libyenne des négociations a indiqué, aujourd’hui, jeudi 8 janvier 2015 dans une déclaration à la radio tunisienne, que l’exécution des deux journalistes tunisiens, Nadhir Guetari et Sofiane Chourabi, pris en otage en Lybie, n’est pas encore confirmée.

Mustapha Abdelkebir, membre la commission mixte tuniso-libyenne des négociations a indiqué, aujourd’hui, jeudi 8 janvier 2015 dans une déclaration à la radio tunisienne, que l’exécution des deux journalistes tunisiens, Nadhir Guetari et Sofiane Chourabi, pris en otage en Lybie, n’est pas encore confirmée.

L’information est tombée comme un couperet : Sofiane Chourabi et Nadhir Guetari, journalistes tunisiens  retenus en otages depuis plus de 120 jours en Libye, auraient été exécutés par la branche libyenne de l’organisation terroriste l’Etat islamique (Daech). Incompréhension, colère, tristesse, les mots ne suffisent guère pour exprimer l’horreur. Nos compatriotes assassinés?  Face au doute et aux informations contradictoires quant à l’authenticité des faits, on ne peut que se sentir impuissant et garder quand bien même une lueur d’espoir.