Dans un communiqué, First TV affirme avoir lancé cette campagne pour alerter, outre les pouvoirs publics, l’opinion et la société civile à l’urgence de la libération des deux journalistes. Ainsi, depuis le 14 janvier 2015 deux types de visuels sont affichés, dans tout le Grand Tunis. Le Syndicat national des journalistes tunisiens (SNJT) a été associé à cette action.

"Ces messages sont pour nous des cris du cœur pour sensibiliser les pouvoirs publics à l'urgence de mesures concrètes et immédiates pour la libération de nos deux journalistes. 130 jours se sont maintenant écoulés depuis leur kidnapping et nous avons l'impression que nous n'avançons pas. Entre les fausses rumeurs d'exécution et celles qui au contraire affirment qu'ils sont en bonne santé, les familles de nos journalistes et First TV sont particulièrement éprouvées. Nous souhaitons que ce calvaire finisse et pouvoir serrer très vite dans nos bras nos deux collaborateurs." déclare Kais Mabrouk, président de First TV.

I.L. D’après communiqué