On assiste ici à un petit échange de balles entre Federer et le tout aussi légendaire Stefan Edberg. Bien que court, le film souligne, en adoptant le point de vue des joueurs, la rapidité de la balle et les temps de réaction, très courts.

Ce n'est pas la première fois que Google Glass s'intéresse au tennis. L'année dernière, la joueuse Bethanie Mattek-Sands avait fait sensation en annonçant qu'elle emporterait cette technologie à Wimbledon. La 58e joueuse mondiale avait porté les lunettes connectées pendant l'entraînement et aux abords du terrain sans jamais les utiliser pendant un match de compétition.

Google tente de dissiper les doutes suscités par son invention pour que les premiers utilisateurs ne sentent pas stigmatisés, mais aussi pour qu’ils se comportent avec décence lorsqu’ils sortiront affublés de ces lunettes innovantes.

Le 14 mai, la technologie Google Glass (que ses créateurs peaufinent encore) sera commercialisée aux États-Unis ($1.500).