Il s’agit d’une idée émanant de l’esprit du président de l’ASPLB, Driss Chérif, globe-trotter et grand voyageur devant l’éternel. Lors d’un voyage en Afrique du Sud, il a rendu visite à Cap Agulhas, le point le plus méridional du continent africain et y a découvert l’aménagement du site en un endroit d’attraction culturel et touristique. Et l’idée lui a germé dans la tête de faire de Ras-Angela-Cap Blanc, le point le plus septentrional du continent le pendant tunisien de Cap Agulhas.
 

De correspondances en entretiens, il a commencé par sensibiliser les autorités régionales et centrales, ministères de la Défense, de la Culture, du Tourisme qui ont accueilli favorablement l’idée et qui ont dépêché des délégations pour la prospection et la reconnaissance du site.
 

Les démarches sont actuellement en phase très avancée et il semble que tous les ministères aient donné leur accord de principe.
 

Le ministère du Tourisme se serait engagé à ériger une stèle symbolique marquant ce lieu remarquable avant que d’autres travaux d’aménagement ne soient entrepris afin de faire du site un endroit attractif où viendront touristes admirer le panorama, chercheurs et étudiants creuser les aspects géographiques et historiques des lieux. La valorisation de Cap Blanc est aux yeux des responsables du projet un moyen idoine pour la promotion du nom de la région, de son patrimoine naturel et géographique, qui devrait avoir des impacts positifs aux multiples niveaux social, culturel et économique. L’on prévoit également, et dans une première période, l’aménagement d’une piste de 2kms, la création d’un circuit protégé par le ministère de la défense, un centre d’accueil et de documentation, la restauration des constructions existantes…
 

Tout ce beau monde s’active afin que la construction de la stèle soit fin prête pour le 11/11 à 11 heures du matin, date choisie pour l’inauguration de ce projet.